Sister Angélique Namaika Nako | République Démocratique du Congo
“Mon souhait pour les femmes de l’Eglise Catholique est que ces femmes soient soutenues matériellement par l’Eglise à travers, ses hommes et femmes de foi pour la réalisation de l’apostolat de Dieu qui leur est confiée. qu’elles soient formées dans plusieurs domaines qui cadrent à leur statut de consacré et même les former à l’esprit de l’autofinancement, car elles ont beaucoup de pauvres ou de personnes vulnérables à gérer, qu’elles ne croisent pas les bras, car le monde appartient aux courageux. Je ne reste plus silencieuse à propos de partage équitable de peu de bien qui provient de l’Eglise entre les fils et les filles pour la réussite de l’apostolat de chacun et surtout pour des congrégations les plus pauvres de notre pays, diocèse ou dans le monde. Je le partage parce que depuis longtemps, il y a eu le problème de la prise en charge de l’Eglise par ses fidèles dans notre pays. Les congrégations qui étaient fondées par les européennes après un temps étaient déclaré autonome par ces fondatrices et fondateurs ou pays de provenance et qui devraient se prendre en charge sur tous les points de vue : formation des membres, des jeunes en formation, leur survie, restauration, logement, soins médicaux, scolarisation, apostolat sans moyen solide et autofinancement. Ces sœurs sont dans une grande souffrance mais elles luttent toujours pour soutenir l’église par les œuvres de leur charisme. Il y a aussi des fondatrices de congrégation qui se débrouillent seules pour des constructions des maisons des formations des communautés, des structures sanitaires, des écoles même des églises pour sauvegarder leur charisme, or ces femmes religieuses ont besoin d’appui de tout côté pour la réalisation de ses œuvres de l’Esprit Saint.”